Un comédien qui dit « je », qui plonge dans ses souvenirs ou dans l’impression qu’il en reste pour faire valser les conditionnements.

Très peu d’accessoires, des vêtements suspendus par des cintres comme autant de camisoles qui contiennent l’être.

Une galerie de personnages convoqués ou incarnés, réels ou figurés. Moise, Dieu, une professeur de musique, un ami envahissant, un père absent, un hamster.

 

Des séquences qui s’enchaînent et se répondent, suivant un fil autobiographique.

 

Une création sonore sur-mesure qui permet aux spectateurs de s’immerger dans les récits et les séquences.

 

Une palette d’émotions et de temporalités qui se déploient.

Des rires, des larmes, de l’énergie, des confidences, de l’absurde, du réel, du clown, du passé… et beaucoup de présent.

 

Une musique principalement composée en live à l’aide d’une machine de Beatbox et d’un micro. La voix qui tremble, le souffle, qui donne à entendre la fragilité de ce qui se déroule là, devant soi. L’envie d’injecter du sensible, de l’unique, du spectaculaire.

 

Un seul en scène explosif.